C’est l’époque: l’intelligence artificielle a largement investi nos vies professionnelles, singulièrement dans les métiers du texte; celui de traducteur n’y échappe pas plus qu’un autre.
Les temps héroïques des premières versions de Google Translate, sans même remonter à Babelfish avec lequel on s’amusait à traduire cinq ou six fois de suite Le Bateau ivre pour éprouver les tranquillisantes limites d’un outil trop rudimentaire pour rivaliser de près ou de loin avec la traduction humaine. Désormais, des solutions comme celles de Microsoft ou Google mais aussi DeepL offrent en une fraction de seconde des résultats convaincants sans autre intervention. Quoique?
Nous travaillons depuis quelques années avec DeepL, intégré à notre logiciel de traduction et associé à des bases de données et glossaires patiemment constitués au fil des ans; et c’est en cela qu’un bureau de traduction comme le nôtre apporte un plus indispensable à vos textes.
Car la machine ne peut pas tout: elle ignore le contexte ainsi que la cohérence, si bien que des termes clés pour la compréhension peuvent se retrouver traduits de diverses façons d’un endroit à l’autre du texte, quand ce n’est pas tout simplement erronément.
FHA, 14/02/2025